Le , par Élie Sloïm - Société Temesis
Avertissement : cet article a été publié en 2005. Son contenu n'est peut-être plus d'actualité.
Je suis intervenu mercredi auprès d’une trentaine d’étudiants de l’Ecole Supérieure de Commerce de Toulouse. C’est la quatrième année consécutive que j’interviens dans cette option “Management des activités de service”.
Cette année, mon intervention sera la seule qui concerne directement le Web : les programmes sont très chargés et les responsables de la formation ont du faire des choix entre différentes interventions toutes très valables notamment sur le e-marketing et sur la création de site.
C’est finalement l’intervention sur la qualité des sites Web et sur l’accessibilité des sites qui aura été conservée. Certes, je suis forcément le moins bien placé pour juger, mais il me semble que ce choix est assez pertinent. La vision qualité Web, transversale par excellence est l’une des seules qui peut donner une vision complète et non spécialisée de ce qu’un professionnel peut et doit faire sur le Web à l’heure actuelle.
Les étudiants n’auront pas reçu une formation spécialisée sur le e-marketing, l’ergonomie, la qualité technique, la conformité, la disponibilité, l’accessibilité, la qualité des contenus Web, la logistique, ou encore la gestion de la relation Client, mais auront appris que le fait de proposer un site supposait au minimum la connaissance de tous ces métiers du web. Accessoirement, mais ce n’est pas un détail, ils sauront aussi qu’à chacun de ces métiers correspond des basiques, des bonnes pratiques, des critères d’évaluation.
En une journée, avec une méthode un peu structurée, il est donc possible de faire passer pas mal d’informations, et je m’y emploie à chaque fois qu’on m’en donne l’occasion.
Toutes interventions confondues (IAE de Toulouse, Sup de Co en management des activités de services et e-marketing, et intervention ARDESI sur l’accessibilité), si j’ai bien compté, cela doit représenter ma douzième intervention à Toulouse, et j’y prends toujours un plaisir considérable. Outre que j’en profite à chaque fois pour me promener en ville en chantonnant du Nougaro (je vous laisse deviner quelle chanson ;-), c’est sans doute l’endroit parmi ceux où je suis intervenu où l’accueil est le plus agréable à priori. Les gens ne vous connaissent pas, mais à priori, ils pensent que vous êtes sympa. Ca motive à fond avant de commencer une intervention. Pour tout vous dire, ça donne même franchement envie de faire des interventions dynamiques, interactives et utiles.
Et comme par hasard, en dehors des conférences officielles auprès de professionnels où c’est quand même plus fréquent, c’est la deuxième fois que je suis franchement applaudi à la fin d’une journée de formation et les deux fois, c’était dans la bonne ville de Toulouse. Sont-ce les gens qui sont particulièrement sympa ou le formateur qui est meilleur que d’habitude, je l’ignore, il y a sans doute des deux, mais ça fait un bien fou.
Bon, pour ne pas prendre la grosse tête, je vais de ce pas aller me faire démolir par mes nouveaux associés Laurent Denis et François Palaci, qui maintiennent ainsi mes chevilles à un niveau à peu près raisonnable de volume ;-)